• Chaleur et sècheresse

    Deux mots qui caractérisent cet été 2016 au jardin

    En cette fin d'été, on peut voir les stigmates de la chaleur et de la sécheresse sur la végétation.

     

    Chaleur et sècheresse

     

    Le copalme d'Amérique a perdu la moitié de ses feuilles, il en a gardé une partie pour nous offrir son spectacle habituel flamboyant à l'automne.

    Chaleur et sècheresse

    Certaines bourdaines ont perdu toutes leurs feuilles, ce sont pourtant des végétaux venus naturellement sur le terrain.

    Chaleur et sècheresse

    Les fougères sont également mal en point, seuls les ajoncs et les bruyères ne semblent pas avoir souffert.

    Chaleur et sècheresseChaleur et sècheresse

    Le saule pleureur n'a gardé que quelques feuilles au prix d'un arrosage régulier alors que le magnolia de soulange est reparti de la base.

    Chaleur et sècheresseChaleur et sècheresse

    Les feuilles du bouleau à papier ont pris un coup de soleil, tout comme les jeunes pousses bien tendres de ce camélia.

     

    Ces symptômes sont la résultante d'un état de sècheresse prolongé et de forts coups de chaleur accompagnés d'un fort ensoleillement.

     

    En juillet au niveau du jardin, nous avons totalisé 4 jours de pluie avec une pluviométrie cumulée de 18 mm et une moyenne maxi des températures dépassant 28°c.

    En août, 5 jours de pluie pour un cumul de 11 mm et une moyenne maxi des températures dépassant 29°c.

    La température maximale de 37°c. a été atteinte plusieurs jours dans le mois.

     

    Dans notre sol sableux, ça ne pardonne pas.

     

    Au jardin potager, nous avons pu récolter en début de saison, quelques courgettes et plus tard, bon nombre de tomates.

    La moitié sont restées sur le pieds car attaquées par le cul noir, symptôme flagrant de manque d'eau.

     

     

    A l'avenir, il nous faudra adapter la végétation au milieu qui nous intéresse.

    Cette hiver, il va falloir déplacer certains végétaux et améliorer l'emplacement de certains autres.

    Ce jardin a son propre microclimat, avec ses extrêmes en hiver comme en été.

    « saint fiacreLe radeau en bonsaï »

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